Je prie... on sait jamais!
Je vous délaisse complet. Mais comme vous m'aimez bien, vous m'en voulez pas. Z'êtes géniaux.
Tant mieux. De toute façon je pourrais pas tenir le rythme du blogueur, un jour, un post. Si vous voyiez ma tête à la fin de la journée, vous seriez au delà de la compréhension. Je pense que vous auriez de la compassion, genre le truc chrétien avec un cierge et tout.
Bref, voici donc les dernières nouvelles. L'entretien numéro 1 (celui que j'ai raconté) n'a pas marché. J'ai eu un vieux mail pourri, pour m'expliquer que finalement ils ne savaient plus s'ils voulaient des contrats de pro ou pas...changement stratégique de dernière minute... mouais! Quelques quarts d'heure plus tard, ma pote très "aware" -déjà en contrat de professionnalisation et donc élève au CFPJ, m'informe par téléphone que cette même télé a pris un contrat de pro, et l'a annoncé à l'école dans la journée... OK!
Dans la même journée, une société de production sur laquelle j'avais fondé de nombreux espoirs, et que je harcelle depuis quelques semaines pour qu'ils me prennent, me dit que la rédaction trouve l'idée bonne, mais production n'a pas besoin de moi... OK! Vive la soirée que j'ai passé!
Mais, (car dans les bonnes histoires, il y a toujours un "mais") le lendemain, une autre télé encore mieux, me rapelle -après 1 mois et demi de harcèlement également, pour me convoquer en entretien. Cool Raoul :)
Je suis donc allée à cet entretien qui s'est fort mieux déroulé que l'autre. Mon harcèlement a payé, (on me l'a dit texto) et le feeling est passé. (re) Mais, le mec me préviens qu'il a des bonnes candidatures sur le pont, et qu'il me faudrait peut-être passer par un stage de deux mois avant qu'il ne puisse s'engager sur deux ans. La pression. Bon.
Me voilà donc encore dans une de ces foutues périodes d'attente pénible, à réactualiser ma boîte mail toutes les deux minutes, à vérifier mon portable à chaque fois que je m'en suis éloignée, à contrôler le bon contact du téléphone avec sa base..."que du bonheur!" comme dirait Flavie Flament.
A suivre! Salut les loulous.